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Exilythiques

14 octobre 2008

Rajeunir...

Rajeunir...
Les services secrets américains envisagent de soutenir le ré-armement des tribus afghanes contre les Talibans. C'est comme un vaccin contre Alzheimer ! Il n'y a pas que les bourses qui voient la vie en rose. Par contre, pour ce qui est d'envoyer les milliardaires...
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13 octobre 2008

énergie nouvelle

énergie nouvelle
Dans ce remake de troisième zone du monde du silence, les hauts parleurs officiels auraient pû faire tournoyer des milliers d'éoliennes. Peut-être même qu'en me branchant un fil j'aurais pu trouver ça excitant. .
12 octobre 2008

gromanche

gromanche
Nous sommes définitivement éphémères nous rappelait Nietzsche. Et Hölderlin d'en rajouter une couche : Tout est rythme. Ca sera mon credo pour les semaines à venir. Garder le rythme dans l'éphémère... .
12 octobre 2008

C'est rien, juste dimanche

C'est rien, juste dimanche
Je n'étais pas toujours sûr de l'effet que je lui faisais.
11 octobre 2008

crédit

crédit
Comme un pet dans un tas de poussière. Une légère exaspération persistante. Un peu la coupe de cheveux de Pujadas posée sur les synapses de Jean-Marc Sylvestre. On aimerait croire en rien parce qu'on a besoin de trop croire et on croit toujours trop quand...
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11 octobre 2008

just press return key

just press return key
Henry avait un moment cru qu'on le poussait vers la sortie, alors que c'était uniquement de son fait. Il allait pouvoir revenir dans le jeu jusqu'à la finale. Certains allaient morfler. .
10 octobre 2008

Lungoliver

Lungoliver
Le vol aurait pu avoir quelque retard. Cela n'aurait pas eu d'importance. On aurait pu racheter quelques jours de plus, mais pas changer la face B de notre monde. .
9 octobre 2008

amen

amen
Chercher l'éclat de la lumière en parcourant discrètement la force morcelaire du fragment. Puis mourir sans but hors de toute téléologie. Amen. .
9 octobre 2008

tu l'auras pas

tu l'auras pas
Assis sur une termitière, on ne critique pas les termites . .
8 octobre 2008

permanence

permanence
Tout s' obscurcit, comme on pouvait indéniablement s'y attendre. On n'attendait pas vraiment quelque chose... On attendait les trains pour les regarder passer. Tout s'obscurcit dans le règne de l'éclairement permanent. Un éclairement s'accomplissant sans...
8 octobre 2008

Les fous ont pris le contrôle de l'asile

Les fous ont pris le contrôle de l'asile
La capacité d'étonnement de l'humanité sur son propre sort semble incommensurable. .
7 octobre 2008

crise

crise
C'est ça la crise : tout dans l'esbroufe mais uniquement pour nous emmerder. Et au final ça pue... .
7 octobre 2008

façon de vivre

façon de vivre
Se tenir à l'écart des remous, bien au chaud dans sa petite niche. Contempler la chute, agrippé au parapet, zapper de secrets en confessions.Et après? .
6 octobre 2008

marre des chacals

marre des chacals
Alors que certains descendent de leur piédestal pour éviter les vertiges au chien-chien, d'autres se prennent à espérer que l'immobilier s'effondre vraiment. .
5 octobre 2008

Recul

Recul
La mode était à l'exagération permanente. Ce n'était plus dans une glace que l'on se regardait, mais dans un miroir grossissant quand ce n'était pas au microscope électronique aux particules accélérées. Pourtant la solution était simple, vraiment. .
4 octobre 2008

sacrilège

sacrilège
Elle aimait à le qualifier de sociopathe. Pourtant, la seule vraie pathie dont il souffrait était celle de couper les pâtes. .
3 octobre 2008

navigation

navigation
La route était son salon. Le temps y défilait, loin des repères. Il en profitait dans une atmosphère de fin du monde, de ce monde en tout cas. .
2 octobre 2008

flexible

flexible
Entendu tout à l'heure sur France-Culture, un dénommé Christian de Boissieu, présenté comme économiste libéral. Déjà, ça commence pas très bien. Je cite le surhomme : " ...de plus, la crise financière va présenter des inconvénients négatifs..."Dans le...
2 octobre 2008

Intemporalité

Intemporalité
S'il y a bien une race qui n'est pas en voie de disparition... .
1 octobre 2008

brèche

brèche
Dehors, un infini d'intensité se meurt. Un verbiage permanent nous saoûle comme on joue de la flûte. Ca se disloque. Une brèche s'est ouverte par laquelle s'écoulent, entre autres, les noms de désastre, de retour. Ca n'éclaire rien dans ce champ dévasté,...
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