21 mars 2006
Lebanon
La guerre est à nos portes, nous ne le savons même pas.
Ouvrez les yeux, mes frères. Destroyez vos lucarnes magiques.
Reconstruisons ce monde pouï avec le ciment de la fraternité.
Sur les ruines de l'indifférence, montons les pierres de l'égalitude.
Ne dormez plus, le temps nous est conté, parce que désormais vous savez.
Fumons nos chèques, ingurgitons les puces qui nous phagocytent.
A mort les caddies aliénateurs.
Putain, ça fait du bien de dire n'importe quoi.
Plus tard, je serai journacistite ou politocard.
Si je veux.
Ou bien mort.
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