15 septembre 2007
Comme à Jéricho
Il se trouvait parfois embarrassé, en public, par quelque surpression boyautale, qui lui faisait perdre un pourcentage non nul de son aisance naturelle, souvent proche,au naturel, de celle des grands fauves au milieu de la savane incandescente. Un matin rayonnant de mars, il eut l'idée de faire de l'art à partir de ce petit tracas. Les visiteurs médusés restaient cois devant tant de génie. Il se concentrait à présent sur sa surdité, sa calvitie, voire sa presbytie. Encore une fois, l'avenir scintillait.
.
Publicité
Publicité
Commentaires