20 mai 2010
classico 3
Certes, j’entendais bien ne pas céder un pouce sur le terrain eucharistique de la chute. J’avais l’intention de choir, je cherrai jusqu’au bout et ses larmes n’y pourront rien changer.
Ces derniers mots, avant que la porte ne claque, étaient pour dénoncer mon pessimisme chevillé au corps alors que je ne faisais rien de plus que lire les journaux.
Quand vous lisez ces lignes, dans la rubrique économique des pages du Figaro, rapportant les propos de Christine Lagarde, nous indiquant que le mouvement boursier que l’on observe actuellement résulte très probablement d’un mouvement de deleveraging, je ne peux que constater qu’on a sérieusement régressé depuis, disons, Fra Angelico. En quoi en suis-je responsable ?
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