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Exilythiques
25 septembre 2009

the match is over

spanish_breakfast_B

Assiettes vides, cendriers pleins, tout se dénoue parfois, alors qu'on n'attendait plus, preuve de notre incapacité à comprendre le monde. Il conviendrait de ne pas se moquer des incurables optimistes, après tout, Pascal faisait aussi des paris stupides.

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Commentaires
C
Pascal, tout court. Mais c'est moins drôle quand tout est expliqué, tu sais, la plus-value du mystère... Sinon, l'image, c'est le bar de l'hotel à Sastago, au petit déjeuner. Les autochtones, peu de femmes, sont enfin allés se coucher après une soirée bruyante, bon sang qu'ils parlent fort et grave, deux écrans de TV réglés sur 2 chaines différentes, du foot sans doute, et de la variété clinquante, la bière qui coule à flôt, des cigarettes qui s'enchainent sans fin (c'est un peu interdit, mais là-bas, tout le monde s'en fout), les machines à sous,... Contraste avec le calme du tôt matin où même l'odeur du tabac froid semble avoir disparu.
C
C'est la suite d'hier. Quand on finit par accepter que tout est foutu, parfois la bonne solution ou la bonne réponse arrive par surprise. Pourquoi ne pas être optimiste, après tout, qu'est-ce qu'on risque ? (j'essaie de me convaincre !)
F
Pascal?... Pascal ?... Obispo ?...
F
Je sais pas si c'est moi qui décline,mais j'ai toujours du mal à comprendre ce que tu veux dire...où tu veux en venir...à quoi tu fais allusion???<br /> Pour du décalé c'est du décalé:-)
Exilythiques
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