16 octobre 2008
vidange
Certains songeaient à vider les stades. Pourquoi pas la piscine ? Il semblerait qu"aujourd'hui le verbe diviser se déclinât à l'infini. Et subconséquemment la bêtise de se multiplier. La parole politique moderne déjà ruinée aussi preste à plonger que les bourses ratatinées de Lehmann & consort. Sinon rue de Belleville plongée dans un crépuscule automnal me console de toute cette désolation...
Comme Dostoïevski : "Un seul beau souvenir d'enfance et vous êtes sauvés...".
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