25 novembre 2007
Sieste
Il n'avait aucun courage après déjeuner. Tout était trop loin, trop fatigant, trop inutile. La Chevrolet avançait toute seule vers le prochain virage. D'ici là, il aurait eu le temps de sombrer dans le néant où rien n'advient. Plus dur à chaque fois de s'en sortir. Il aurait fallu ouvrir les yeux, mais ses paupières étaient tellement lourdes que sa volonté abdiquait.
.
Publicité
Publicité
Commentaires
F